À l’occasion de son déplacement pour participer à la 2e édition du Forum économique, commercial et d’investissement sénégalo-gambien en république sœur gambienne, le Premier ministre a tenu son discours devant le vice-président Muhammed B.S. Jamlow. Sur la thématique relative à « l’harmonisation de l’environnement des affaires », Ousmane Sonko invite à renforcer les échanges entre pays africains, en priorité pour une union de plus en plus conséquente, de l’Afrique. C’est un appel d’ailleurs qu’il a lancé au gouvernement gambien. « Nous avons l’habitude de faire ce que les autres pays du monde font en un temps réduit. En tant qu’Africains, il nous faut conjuguer nos efforts pour plus de résultats dans le continent et particulièrement dans le domaine du commerce ». D’après le chef du gouvernement du Sénégal, il faut d’emblée, se réjouir de la coopération entre le Sénégal et la Gambie, qui a été relancée depuis quelques mois. « Nos relations commerciales et économiques sont à pérenniser. Notre présence ici en Gambie s’explique à plusieurs niveaux. Il nous faut d’abord, privilégier l’Afrique. Nous partageons avec la Gambie, cette organisation gouvernementale qu’est la CEDEAO, l’OMVG et même, notre secrétariat permanent. Pour vous expliquer qu’il y’a tant de relations qui nous lient », se félicite le premier ministre.
Cependant, le chef du gouvernement, même s’il faut se féliciter du trafic commercial qui a évolué entre les deux pays (92 milliards entre 2001 et 2022 et 117 milliards en 2023), force est de reconnaître que ce n’est pas encore suffisant. Il faut se projeter vers un montant plus conséquent et ne pourquoi pas, dans les années à venir, « porter ce montant à 500 milliards de francs CFA », a martelé le Premier ministre qui invite Banjul à capitaliser les efforts avec le Sénégal dans les domaines des infrastructures, les transports, l’industrie, le tourisme et l’économie numérique.
Cependant, le chef du gouvernement, même s’il faut se féliciter du trafic commercial qui a évolué entre les deux pays (92 milliards entre 2001 et 2022 et 117 milliards en 2023), force est de reconnaître que ce n’est pas encore suffisant. Il faut se projeter vers un montant plus conséquent et ne pourquoi pas, dans les années à venir, « porter ce montant à 500 milliards de francs CFA », a martelé le Premier ministre qui invite Banjul à capitaliser les efforts avec le Sénégal dans les domaines des infrastructures, les transports, l’industrie, le tourisme et l’économie numérique.
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